Elle a perdu de sa superbe, n’est plus scintillante comme à l’accoutumée, Jeannice Ondo Nguema, la charmante présentatrice de l’émission « Regard sur le monde » sur Gabon1ère. Une émission très prisée. Les téléspectateurs d’un certain niveau intellectuel en raffolent, et cela fait des jaloux.
Elle se présente à vous aujourd’hui le visage boursouflé, presque borgne et visiblement amaigrie. Ce n’est plus la Jeannice qui imposait l’admiration de tous lorsqu’elle était dans toute sa splendeur.
Que s’est-il passé ou que lui est-il arrivé ? Dans cet état, encore que sa santé se soit beaucoup améliorée au moment où nous mettons sous presse, cette question a d’abord, et prioritairement, été posée aux professionnels de la médecine dite moderne, infirmiers, laborantins, médecins et professeurs en médecine, spécialistes en diverses pathologies.
Après moult examens de sang, d’urine, de selles et suite à plusieurs radiographies et autres scanners, rien dans son organisme ne justifiait l’état dans lequel elle se trouvait, absolument rien. A peine pouvait-on penser que ce sont les réactifs et les appareils dont on usait qui étaient défaillants. Et son état de santé continuait inexorablement à se dégrader, jusqu’à ce qu’elle recourt à un traitement spirituel. Et ce sont les prêtres qui l’ont prise cette fois-ci en charge.
Après plusieurs séances de prières et de pose de main, sa santé a commencé à s’améliorer. Et progressivement, elle s’est remise sur ses deux pieds au grand soulagement de sa famille et de tous ses amis et connaissances. Aujourd’hui, elle va mieux, même si les séquelles subsistent. Un œil bandé et visiblement affaibli, elle a repris ses activités professionnelles, toujours à Gabon1ère et les enregistrements de son émission « Regard sur le monde ont repris ».
Etant donné que ce sont les prêtres qui lui ont sauvé la vie, on ne peut donc penser qu’à ces esprits maléfiques qui rôdent à l’intérieur ou tout autour de la « Maison Rawiri », lesquels lui auraient jeté ce sort. Parce que, les hommes en toge ne soignent que des maladies somatiques liées à des pratiques de sorcellerie. Et cela fait des années que l’on en parle, déjà à l’époque de la RTG. Beaucoup d’hommes de médias y ont perdu leurs vies. Intrigues, coups bas, peaux de banane, ragots, médisance et jalousie, tel est le climat qui prévaut en ces lieux, ce depuis fort longtemps. Jeannice a failli en payé un lourd tribut.
Comme quoi, l’ennemi premier de tout homme de média, ce n’est pas forcément le pouvoir politique ou les acteurs de la vie économique et sociale, c’est d’abord le journaliste ou le communicateur lui-même.