Dans cette affaire- là, il y a sur la scène politico-sociale gabonaise, des individus qui se sont spécialisées dans la clownerie. Et dans cette affaire-là, ces derniers ne peuvent qu’être sollicités, tant ils amusent, dans cette affaire-là, la galerie.
Dans cette affaire-là, un certain Georges Mpaga en fait partie. Toujours dans cette affaire-là, « SEF » -entendre par là Sans emploi fixe- il s’est spécialisé dans cette affaire-là de clownerie depuis 1990, et cela lui rapporte, dans cette affaire-là.
Il braille, vocifère, dans cette affaire, et d’aucuns ont fini par le prendre au sérieux.
Dans cette affaire-là de « M’pagalleries », et se prenant pour un défenseur de causes nobles, il est rentré par effraction dans la scène politique et débite, dans cette affaire-là, chaque fois que l’occasion lui offerte, des insanités qui pourraient le conduire tout droit en prison.
Tenez, dans cette affaire-là, et parlant de l’actualité brûlante de l’heure, pendant que l’on lui parle de constitution ; de code électoral, de l’interdiction faite aux militaires, auteurs de coups d’Etat, de ne pas être juge et partie lors des prochaines élections ; du calendrier officiel desdites élections, dans ses « M’pagalleries », l’intéressé (Georges Mpaga) dans cette affaire-là parle, lui, de Bilié By Nze qui a volé, spolié le peuple gabonais, l’a massacré et tut quanta.
Le tout, dans cette affaire-là, dans un délire presque débile.
Normal ! Il n’a pas, dans cette affaire- là, le niveau de tels débats.
Redresseur de torts se veut-il dans cette affaire-là ,surtout à l’endroit de tous ceux qui ont collaboré avec le régime déchu, qui n’était que celui des Bongo père et fils ,il oublie ou feint d’oublier ,dans cette affaire-là, que les André Mba Obame, Jean Ping, Zacharie Myboto, Divungi, Chambrier et bien d’autres encore qu’il a soutenus ou avec lesquels il a été côte à côte dans la lutte contre Ali Bongo Ondimba ont été, toutes ces personnalités, dans cette affaire-là, des chantres de ce régime.
Toujours, et encore dans cette affaire-là, il oublie ou feint d’oublier que ce sont les militaires, notamment la GR, dont il est aujourd’hui la porte-parole, opportunisme et appât du gain obligent, ce sont ces militaires disions-nous dans cette affaire-là, qui tuaient des Gabonais depuis 1993, jusqu’au massacre de 2016, chaque fois qu’il y avait, dans cette affaire-là, crise postélectorale ce pour protéger, dans cette affaire-là, le régime des Bongo.
Que c’est compliqué, vraiment très compliqué, dans cette affaire-là, de s’attarder sur des « M’Pagalleries ».