Les mendiants de la ‘’société civile’’ hyperactifs

Le moment est plus que fécond et fertile pour eux, les Georges Mpaga, Foumboula et consorts. Au nom de la nébuleuse société civile, nul ne sait quelles causes défendent-ils exactement. C’est beaucoup plus sur le terrain politique qu’ils s’investissent essentiellement. Des droits de l’Homme, des libertés fondamentales, de la défense de l’environnement et autres causes nobles relevant naturellement de ce que devrait être leurs champs de batailles, ils s’en moquent éperdument, préférant se mettre au service et à la botte des acteurs politiques, quand ils ne jouent pas aux escrocs dans des affaires qui ne sont pas du ressort de l’existence juridique de leurs chapelles respectives.

Georges Mpaga excelle en la matière. Chômeur de luxe – il n’avait jamais répondu présent quelque part-, on l’a retrouvé jouant les mendiants auprès d’André Mba Obame, Jean Ping et de tous les acteurs politiques ayant émergé pour devenir de potentiels chefs de l’Etat.

 Dans un français et élocutions quelconques, il lit souvent des déclarations rédigées par ceux-là qui lui servent de nègre de service. Que dit-il ? Rien, que du blablabla. Il est bien connu pour ça. Et quand il ne joue au renard face au corbeau, comme bien d’autres, il sert d’intermédiaire dans des transactions financières, ce qui lui permet de survivre, sur fond d’accusations d’escroquerie. Un donneur de leçons doit-il être accusé d’escroquerie ? La question vaut son pesant d’or.

 De temps en temps, il se veut  d’être un observateur des processus électoraux, domaine où il ne s’y connait guère. N’en déplaise, cela lui permet de s’improviser comme un partenaire des organismes internationaux qui s’investissent en la matière. Et derrière tout ça, il y a quelques prébendes à engranger. Et Georges Mpaga vit de cela, de ces quelques petits dividendes financiers qu’il engrange auprès des hommes politiques et des organismes internationaux qui ont d’ailleurs fini par découvrir son subterfuge.

La transition politique en cours au Gabon est une aubaine pour lui. Il peut enfin, et pour la première fois de sa vie, émerger quelque part, notamment au Conseil économique, social et environnemental. Il faut dire que cette  transition a sorti de la débrouillardise tous ceux qui y tiraient le diable par la queue depuis des années. Ils peuvent désormais vivre normalement. Cependant pour combien de temps ?

Toujours est-il que cela leur donne du zèle, au point de s’exprimer sur des sujets qui ne sont guère à leur hauteur et pour lesquels ils devraient se taire, la bouche pleine.

Mais Georges Mpaga n’est pas de ceux- là à même d’avouer leur incapacité à aborder des sujets dépassant leur petite intelligence. Raison pour laquelle il s’en est pris vertement, et récemment, à des personnalités de haut rang qui, au cours d’une conférence de presse, ont dressé un tableau on ne peut plus négatif de la transition eu cours dans le pays.

Esquivant les questions de fond qu’il ne peut traiter et pour lesquelles il ne peut avancer des contre-arguments, il a préféré se livrer à des injures, à de la diffamation, à la calomnie, en quelques mots, aux attaques personnelles. Le terrain qu’il connait la mieux.

Quels arguments peut-il avancer, Georges Mpaga, contre les dispositions légales contenues dans des traités internationaux interdisant des auteurs de coups d’Etat militaires de prendre part à des élections politiques de restauration de l’ordre démocratique ? Rien du tout.

Quels autres arguments peut-il avancer contre l’impérieuse nécessité de mettre à plat le fichier électoral gabonais, quand on sait que beaucoup d’électeurs décédés y sont toujours inscrits, qu’il y existe des doublons et bien d’autres anomalies ?

Qu’a-t-il à dire à propos du calendrier électoral qui doit fixer tout le monde quant aux élections à venir ?

Que peut-il dire, toujourLe moment est plus que fécond et fertile pour eux, les Georges Mpaga, Foumboula et consorts. Au nom de la nébuleuse société civile, nul ne sait quelles causes défendent-ils exactement. C’est beaucoup plus sur le terrain politique qu’ils s’investissent essentiellement. Des droits de l’Homme, des libertés fondamentales, de la défense de l’environnement et autres causes nobles relevant naturellement de ce que devrait être leurs champs de batailles, ils s’en moquent éperdument, préférant se mettre au service et à la botte des acteurs politiques, quand ils ne jouent pas aux escrocs dans des affaires qui ne sont pas du ressort de l’existence juridique de leurs chapelles respectives.

Georges Mpaga excelle en la matière. Chômeur de luxe – il n’avait jamais répondu présent quelque part-, on l’a retrouvé jouant les mendiants auprès d’André Mba Obame, Jean Ping et de tous les acteurs politiques ayant émergé pour devenir de potentiels chefs de l’Etat.

 Dans un français et élocutions quelconques, il lit souvent des déclarations rédigées par ceux-là qui lui servent de nègre de service. Que dit-il ? Rien, que du blablabla. Il est bien connu pour ça. Et quand il ne joue au renard face au corbeau, comme bien d’autres, il sert d’intermédiaire dans des transactions financières, ce qui lui permet de survivre, sur fond d’accusations d’escroquerie. Un donneur de leçons doit-il être accusé d’escroquerie ? La question vaut son pesant d’or.

 De temps en temps, il se veut  d’être un observateur des processus électoraux, domaine où il ne s’y connait guère. N’en déplaise, cela lui permet de s’improviser comme un partenaire des organismes internationaux qui s’investissent en la matière. Et derrière tout ça, il y a quelques prébendes à engranger. Et Georges Mpaga vit de cela, de ces quelques petits dividendes financiers qu’il engrange auprès des hommes politiques et des organismes internationaux qui ont d’ailleurs fini par découvrir son subterfuge.

La transition politique en cours au Gabon est une aubaine pour lui. Il peut enfin, et pour la première fois de sa vie, émerger quelque part, notamment au Conseil économique, social et environnemental. Il faut dire que cette  transition a sorti de la débrouillardise tous ceux qui y tiraient le diable par la queue depuis des années. Ils peuvent désormais vivre normalement. Cependant pour combien de temps ?

Toujours est-il que cela leur donne du zèle, au point de s’exprimer sur des sujets qui ne sont guère à leur hauteur et pour lesquels ils devraient se taire, la bouche pleine.

Mais Georges Mpaga n’est pas de ceux- là à même d’avouer leur incapacité à aborder des sujets dépassant leur petite intelligence. Raison pour laquelle il s’en est pris vertement, et récemment, à des personnalités de haut rang qui, au cours d’une conférence de presse, ont dressé un tableau on ne peut plus négatif de la transition eu cours dans le pays.

Esquivant les questions de fond qu’il ne peut traiter et pour lesquelles il ne peut avancer des contre-arguments, il a préféré se livrer à des injures, à de la diffamation, à la calomnie, en quelques mots, aux attaques personnelles. Le terrain qu’il connait la mieux.

Quels arguments peut-il avancer, Georges Mpaga, contre les dispositions légales contenues dans des traités internationaux interdisant des auteurs de coups d’Etat militaires de prendre part à des élections politiques de restauration de l’ordre démocratique ? Rien du tout.

Quels autres arguments peut-il avancer contre l’impérieuse nécessité de mettre à plat le fichier électoral gabonais, quand on sait que beaucoup d’électeurs décédés y sont toujours inscrits, qu’il y existe des doublons et bien d’autres anomalies ?

Qu’a-t-il à dire à propos du calendrier électoral qui doit fixer tout le monde quant aux élections à venir ?

Que peut-il dire, toujours Georges Mpaga, le flagorneur du CTRI, du retour à la constitution de 1991 qui consacre la séparation des pouvoirs et qui ne prive aucun Gabonais d’une partie de ses droits civiques, dont celui de se porter candidat à la présidence de la République ?

Que dit-il d’un cadre électoral mettant à l’écart le Ministère de l’Intérieur de toutes les opérations électorales ?

En guise de réponses à toutes ces interrogations, il répond plutôt par des injures et un appel à candidature du Général de brigade, Brice Clotaire Oligui Nguema, relayé dans la foulée par un autre flatteur zélé et sans scrupules, Séraphin Moundounga, son patron de transition au CESE.s Georges Mpaga, le flagorneur du CTRI, du retour à la constitution de 1991 qui consacre la séparation des pouvoirs et qui ne prive aucun Gabonais d’une partie de ses droits civiques, dont celui de se porter candidat à la présidence de la République ?

Que dit-il d’un cadre électoral mettant à l’écart le Ministère de l’Intérieur de toutes les opérations électorales ?

En guise de réponses à toutes ces interrogations, il répond plutôt par des injures et un appel à candidature du Général de brigade, Brice Clotaire Oligui Nguema, relayé dans la foulée par un autre flatteur zélé et sans scrupules, Séraphin Moundounga, son patron de transition au CESE.

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