Devenu Grand maître de la Grande Loge du Gabon (GLG), succursale équatoriale de la Grande Loge de France (GLF), en succédant à Ali Bongo Ondimba et surtout à Maixent Accrombessi , Jacques Denis Tsanga, l’actuel Gouverneur du Haut Ogooué, ancien ministre des Eaux et Forêts,. fait du ménage dans l’une des plus grande écuries maçonniques du pays. Il nettoie d’autres petites écuries qui en dépendaient. Et cela prend des allures d’un règlement de comptes politique, histoire d’effacer toute trace d’Ali Bongo Ondimba des sphères politique et sociale du pays. Ce qui témoigne bien du lien ombilical et incestueux existant, depuis Léon Mba à Ali Bongo Ondimba, en passant par Omar Bongo Ondimba, entre le monde politique et les obédiences maçonniques. Lien dénoncé depuis fort longtemps par les Gabonais.
Après avoir mis hors d’état de nuire Maixent Accrombessi, voilà Lin Mombo neutralisé par l’exclusion de sa petite écurie, les Chevaliers du temple (les Templiers), qu’il a importée des Etats-Unis d’Amérique, de la Grande Loge du Gabon. Tous les deux, Maixent Accrombessi et Lin Mombo sont des très proches du Chef de l’Etat déchu, ex- Grand maître de la GLG, Ali Bongo Ondimba, dont l’intronisation fit parler d’elle, caméras à l’appui en 2009. Les esprits en furent marqués. Ce fut le début de son court règne sur le Gabon. Il n’aura duré que quatorze, avec syncrétisme entre politique et obédience maçonnique.
Il faut ici rappeler que c’est en 1175 et1185 que l’historien Guillaume de Tyr fait, le premier, allusion aux Templiers dans son « Historia rerum transmarinarum » qui retrace la vie du royaume Franc de Palestine depuis sa fondation. Il s’agit d’une mystérieuse fondation qui a toujours agi à l’ombre des grands de ce monde depuis cette époque. De Palestine au Gabon, en passant par l’Europe et les Eta-unis d’Amérique, cet ordre a toujours à l’ombre des tenants du pouvoir. Ce fut le cas d’Ali Bongo Ondimba.
Ceci explique probablement son exclusion de la GLG, sur certainement recommandation des nouveaux maîtres du Gabon